Avocat en droit du travail
à Rouen, Normandie

Les conflits au travail portés devant le Conseil de prud'hommes de Rouen

Malgré un marché de l'emploi dynamique, certains salariés rennais sont en démêlés face à leur employeur

Rouen, est une ville normande dynamique sur le plan économique.

Pour assurer l’activité de nombreux sièges sociaux d’entreprises d’envergure, mais également dans le secteur du commerce et des services, près de 172 604 emplois salariés³ sont pourvus dans la métropole rouennaise.

Or les relations entre les salariés et leurs employeurs dans le cadre d’un contrat de travail – ou au moment de la rupture du CDI ou du CDD – sont parfois sources de conflits professionnels.

L'assistance d'un avocat en droit social peut être très précieuse pour le salarié rouennais

Les litiges relatifs au droit du travail, à défaut de solution trouvée à l’amiable, relèvent de la compétence du Conseil de Prud’hommes de Rouen.

Le salarié saisit la juridiction par requête adressée au greffe du Tribunal, dans le respect du délai de prescription de son action et conformément aux formes procédurales requises par la loi.

De la phase de conciliation amiable à la phase judiciaire, vous pouvez compter sur lui

Les parties sont ensuite convoquées à une séance de conciliation. Si cette tentative n’aboutit pas, le salarié et l’employeur comparaissent lors d’une audience au cours de laquelle le Conseil de Prud’hommes tranche le litige. De la phase amiable à la phase contentieuse, la présence d’un avocat aux côtés du salarié permet d’augmenter ses chances de succès, mais aussi de lui économiser les étapes de la procédure.

La présence du salarié est facultative devant le Conseil de prud'hommes de Rouen

En prenant un avocat en droit du travail pour son litige à Rouen, le salarié peut en outre se faire représenter afin de ne pas comparaître en personne face à son adversaire, un véritable soulagement pour le salarié psychologiquement éprouvé par la situation professionnelle conflictuelle (harcèlement, salaires impayés, licenciement abusif...).

³Source : Insee